"La vie continue — et personne ne sort vivant."
Le 23 juillet 2025, Fiido a reçu un message sincère d'une cycliste nommée Jana — une femme qui a retrouvé la lumière après des années de pertes, de douleurs et d'obscurité émotionnelle.
Ce n'était pas simplement un avis sur un produit. C'était un voyage de guérison sur deux roues.
L'histoire du vélo électrique Fiido C21 et de Jana

Voici l'histoire de Jana, dans ses propres mots.
"Comment suis-je passée d'une amoureuse inconditionnelle des voitures à une passionnée de vélos électriques ? La réponse est simple : en regardant une série télévisée.
Tout a commencé il y a cinq ans. Mon fils était gravement malade (il est maintenant dans sa troisième année de rémission). Il y a trois ans, mon père est décédé. L'année dernière, j'ai perdu mon chien bien-aimé, et plus tôt cette année, ma sœur est décédée subitement sans avertissement. Je suis tombée dans un trou sombre et profond et j'ai traversé une période de dépression.
Puis, dans une série télévisée, j'ai vu une femme qui semblait pédaler pour sortir de la dépression.
Je me suis dit : « C'est ça. Cela ne peut apporter que du bonheur. » (Et, mon thérapeute était en vacances à ce moment-là.)
J'ai donc commencé à faire des recherches, à comparer et à lire des avis. En tenant compte du prix, des performances et du poids, j'ai finalement choisi Fiido.Le C21 correspondait parfaitement à ce que je cherchais : sportif, facile à manipuler et suffisamment léger pour se fixer sans effort sur le porte-vélos de ma 190E Baby Benz.
J'ai donc commandé deux vélos… car la personne la plus proche de moi pensait également à acheter un vélo électrique — nous avons donc décidé d'en prendre deux tout de suite.Maintenant, je roule au moins deux à trois fois par semaine après le travail, profitant des routes de campagne paisibles autour de Grönegau.
En environ quatre semaines, j'ai déjà parcouru 230 kilomètres. Chaque week-end, nous nous rendons à Weserbergland et roulons le long de la Weser — c'est toujours un moment vraiment spécial.Ce vélo est devenu le guérisseur de mon âme. Note ? Définitivement un parfait 5 sur 5 !
Une porte se ferme, une autre s'ouvre. Je ne suis pas du genre à enterrer ma tête dans le sable et à éviter la réalité. Chacun a son histoire…
Comme l'a dit un acteur célèbre : « La vie continue — personne ne sort vivant. » Donc, il y a seulement deux choix : soit je deviens plus malade et je ne peux même pas me supporter, soit je choisis d'être reconnaissante — reconnaissante d'être encore sur cette terre. J'ai choisi la dernière option. Et ce vélo m'a aidée en chemin.
Quant au deuil et à la pitié de moi-même — cela peut attendre que je sois vraiment vieille et malade."

Le voyage de Jana nous rappelle que la guérison ne se produit pas toujours dans les salles de thérapie ou les lits d'hôpital — parfois, elle se produit sur des routes tranquilles, sous des cieux ouverts, un trajet à la fois. À tous ceux qui cherchent encore la lumière : parfois, cela commence avec un vélo.